Préparer un safari en Tanzanie amène souvent pleins de questions … voici le top 15 des questions que l’on nous pose sur les safaris en Tanzanie et nos réponses !
Cela dépend de vos critères principaux : météo, budget, fréquentation … La période sèche s’étend de juin à octobre, puis s’ensuit une saison de pluies de novembre à mai, moins fréquentée ! Les vacances scolaires sont les périodes les plus prisées en Tanzanie. Si vous pouvez les éviter vous serez plus tranquilles (et les vols seront moins chers). La saison verte (novembre à mars) est moins fréquentée, plus économique, et tout aussi belle, avec des paysages verdoyants et la migration des gnous dans le Ndutu !
Oui, un visa touristique est nécessaire pour entrer en Tanzanie. Il coûte 50 USD pour un séjour de 90 jours (adulte et enfant). Il peut être obtenu en ligne via le site officiel de l’immigration tanzanienne ou à l’arrivée à l’aéroport. Un passeport valide au moins 6 mois après la date de retour est indispensable.
Le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire uniquement si vous avez voyagé dans un pays à risque auparavant. Les vaccins usuels (DTPolio, hépatites A et B, typhoïde) sont conseillés. Un traitement antipaludéen est également recommandé. Consultez votre médecin ou un centre de vaccination internationale au moins 4 semaines avant le départ pour obtenir tous les conseils !
Un voyage en Tanzanie dure en général 10 à 15 jours. Pour découvrir plusieurs parcs (Serengeti, Tarangire, Ngorongoro, etc.) tout en prenant le temps, il faut compter environ 4 à 6 jours au sein des parcs. Il est possible de combiner le safari avec un séjour en immersion chez l’habitant ou une escapade à Zanzibar.
Le budget varie selon la durée, le type d’hébergement (campement, lodge, chez l’habitant), la saison et le nombre de participants. Comptez entre 1 500 € et 3 500 € par personne tout compris. Chez Endallah, les tarifs sont transparents, équitables, et incluent tout ce qu’il faut : transport, guide local, hébergements, repas et entrées de parc.
Le Serengeti est incontournable pour la Grande Migration et les félins, mais il est aussi loin et coûteux. Le cratère du Ngorongoro offre une concentration exceptionnelle d’animaux dans un décor unique (mais attention, il est très fréquenté en juillet-août). Le parc de Tarangire est réputé pour ses éléphants et baobabs. Le Lac Manyara et Arusha, plus petits, permettent des safaris variés et complémentaires. Et enfin, notre coup de cœur le Ndutu vous offre des safaris intimes dans un espace préservé … quelle que soit la saison !
En général, la journée commence tôt, vers 6 h ou 7 h, avec un petit-déjeuner et un départ en 4x4 pour observer la faune au lever du jour. Pause pique-nique ou déjeuner en lodge à midi, puis reprise du safari l’après-midi. Le retour au camp ou chez l’habitant se fait en fin d’après-midi, avec un moment d’échange et de repos autour du dîner. Tout cela est bien sûr ajustable et à affiner sur place avec votre guide selon vos envies !
Selon le circuit, vous pouvez dormir en lodge, en camp de toile, chez l’habitant ou en bivouac. Chez Endallah, nous privilégions des hébergements bien placés, confortables, gérés localement, pour favoriser les échanges et minimiser l’empreinte écologique. L’expérience peut être authentique sans sacrifier le confort !
Absolument pas ! Chez Endallah, nous travaillons avec des guides tanzaniens francophones expérimentés. Ils assurent à la fois la logistique, la traduction et l’interprétation culturelle, ce qui permet un voyage fluide, accessible à tous, y compris aux enfants ou aux personnes peu à l’aise en langues étrangères.
Nos guides sont 100 % tanzaniens, formés au métier de guide de safari, et francophones. Ils sont choisis pour leur professionnalisme, leur connaissance de la faune et de la culture locale, et leur éthique ! Ils sont employés directement et rémunérés de manière juste et transparente.
Un safari solidaire respecte les populations locales et l’environnement. Cela signifie travailler avec des partenaires locaux, rémunérer équitablement les guides, favoriser les hébergements Tanzaniens, et intégrer des temps d’échange culturel, tout en évitant les mises en scène folkloriques. Ce type de tourisme crée une relation plus humaine, plus respectueuse, et plus durable. Bref, c’est bénéfique pour les voyageurs et pour les locaux !
3 % du prix de chaque voyage sont reversés à un fonds de développement, qui finance chaque année des projets sociaux (environ 70 000$ par an reversés). Les hébergements et repas sont fournis par des familles ou coopératives locales. Nous soutenons également des projets éducatifs, agricoles et artisanaux dans les villages partenaires. Le voyage devient ainsi une source directe de revenus pour les communautés.
Non. Chez Endallah nous construisons des circuits qui, par nature, vont aider au développement du pays. Mais nous ne proposons pas à nos voyageurs d’être bénévole, car ils sont souvent là sur une trop courte durée pour avoir un réel impact, et bien souvent les compétences existent localement, alors autant donner du travail aux locaux !
Des vêtements légers mais couvrants (pour le soleil et les moustiques), une veste chaude pour les nuits, des jumelles, une gourde, une lampe frontale, un maillot de bain, une trousse à pharmacie de base, et un adaptateur électrique (type UK).
Il n’y a pas de limite d’âge pour faire un safari ! Nous avons déjà accueilli des voyageurs de 4 mois à 86 ans ! Nous adaptons le rythme, le confort et les activités à l’âge et aux envies des voyageurs. Les familles sont les bienvenues chez Endallah !